mercredi 31 octobre 2012

4 ans !

Voilà, mercredi dernier, 24 octobre, nous avons atteint l'impensable: notre dossier est au DSDW depuis 4 ans.
Néanmoins, ce dernier mois sont arrivées deux excellentes nouvelles : l'attribution de deux familles AFA, avec des dossiers de 2007. Ce qui fait trois dossiers 2007 attribués depuis le début de l'année. Selon mes comptes, qui ne sont pas forcément exacts, il resterait encore un dossier 2007 avant d'attaquer notre année, 2008. C'est lent, mais c'est mieux que rien. Il reste à espérer que le rendez-vous de décembre à Bangkok fournisse la petite accélération salvatrice...
J'écrivais l'an dernier à la même époque (ici), qu'il faudrait encore au moins 1 an. Je crois bien que je peux quasiment de nouveau rédiger cette phrase aujourd'hui, malheureusement! Le temps d'attente des derniers attribués tourne autour de 52 à 60 mois environ... pour les français, car certains pays, comme la Finlande ou l'Australie, notamment, sont déjà sur les dossiers 2009.
En relisant les post mensuels qui égrenent ce blog (voir notamment ici ,  et encore ici), je me suis rendue compte que l'attente du départ était  toute en joie et en excitation, marquée par l'espoir et la préparation, notamment via de nombreuses lectures. Est ensuite venu le  temps de la lassitude et du ras-le-bol, de l'incompréhension, et de l'impatience,  pour aujourd'hui arriver à une nouvelle étape encore: l'étonnement.  Comment cela peut-il durer aussi longtemps? Inimaginable au départ, finalement supporté, ce temps d'attente est désormais tellement ancré qu'un danger nous guette: ne savoir plus vivre autrement qu'en attendant. Probablement une certaine résignation, aussi, et un peu d'amertume peut-être, qui transparaîtrait dans mes derniers post, selon un lecteur... je ne m'en était pas rendue compte, mais c'est vrai que tant  l'incapacité à faire avancer les dossiers que l'absence de mobilisation pour faire évoluer l'adoption, notamment autour de l'accompagnement et de la préparation , que ce soit avant ou après, deviennent irritantes!
Reste encore à refaire notre agrément, afin de pouvoir poursuivre notre attente encore le temps nécessaire...Un éternel recommencement. Je ne sais plus s'il s'agit d'entêtement, d'abnégation, de volontarisme, de lucidité ou d'enthousiasme, mais "ne pas lâcher" finit par devenir un mode de vie! D'autant que nous savons que ça marche, puisque la joie de devenir parents devient bien réelle pour les uns près les autres, mais je me demande parfois dans quel état d'usure nous arriverons à bon port.  A moins, que, comme vous êtes nombreux à le dire, sans oublier, on passe effectivement à autre chose et nos ressources, retrouvées,  seront mobilisées autrement, tournées vers la joie et un quotidien à construire. « Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible. » (Antoine de Saint-Exupéry)
Vivement la bonne nouvelle !

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jeudi 25 octobre 2012

Lettre à Christine B.

Chère Christine,
en fait, je ne peux pas véritablement commencer cette lettre par un "chère" , car non, décidément, nous ne serons jamais amies.
Votre conception archaïque de la famille avec un grand F, votre opposition à l'adoption, votre déconnexion de la réalité sociétale française nous positionnent décidément à mille lieues l'une de l'autre.
Pourtant, tout au long de votre parcours d'ovni politique, vos divers accès de sensiblerie m'ont régulièrement fait sourire, et vous auront presque rendue pathétique attachante: vos larmes  et votre Bible à l'Assemblée lors du  PACS (à cet âge-là, vous m'aviez même beaucoup fait rire (de consternation), et pas seulement sourire,  mais j'étais jeune et donc cruelle), votre sitting-camping de Minisitre du Logement place Bellecour à Lyon, votre régime-relooking  pour vous faire belle pour la présidentielle, votre vrai-fausse bombe anti-sarko qui a fait plouf... j'en oublie, sans doute.

Mais cette fois, comment dire?  Vous m'avez bluffée. Réussir à faire faire des flashmob à tous les vieux-cathos-réacs de France autour d'un éphèbe ailé dans une tenue digne de la gay-pride (enfin, le lyonnais, hein,  celui de la photo, parce qu'au Mans (celui de la video), il est un peu  vieillissant, l'éphèbe...), pour expliquer que les homos sont des dégénérés qui ne peuvent en aucun cas devenir parents, là, vraiment, chapeau!!



c'est vrai que ça donne "l'impression de regarder Arte la nuit, bourré"

Cela étant, Christine, cet exploit pathétique n'est-il finalement rien d'autre que le chant du cygne d'une bataille perdue d'avance? Je crois que là, un petit cierge à la cathédrale s'impose... 


j'adore les têtes bouche-bées des mamies réacs... Bravo les filles !
voir leur témoignage ici





Sources: LeMondeRue89LeFigaro,  Slate,  Têtu
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lundi 22 octobre 2012

La lettre de l'AFA n°14

Dans sa nouvelle lettre, l'AFA présente son action de communication autour de l'adoption de enfants à besoins spécifiques, dont les grandes lignes avaient été annoncées dans son rapport annuel . 
Dix mini-films dispos sur le site, notamment, et surtout un documentaire de 52 mn mis à disposition des correspondants départementaux, réunis récemment pour sa mise en main et ayant pu "bénéficier de l'intervention de deux invités de renom sur la thématique de « Histoire et évolution de l’adoption internationale » :  Yves DENÉCHÈRE, professeur d’histoire contemporaine à l’Université d’Angers qui a publié (Armand Colin)  « Des enfants venus de loin » -  Histoire de l’adoption internationale (voir son blog ici et un post antérieur )  et leDr Julien PIERRON, médecin généraliste, auteur d’une thèse sur les données socio-familiales de l’adoption internationale en France (voir son blog ici).  Les trois autres thématiques portaient sur l’actualité des pays par pôle géographique, les enfants à besoins spécifiques,  et les différents « outils » proposés pour une meilleure orientation des adoptants."
En effet, précise l'AFA dans son édito, " les enfants en besoin d’adoption dans le monde sont aujourd’hui des enfants dont les besoins sont également  spécifiques : enfants grands (5 ans et plus), fratries, enfants ayant une histoire lourde ou stigmatisante, ou enfants affectés d’un handicap ou d’un problème de santé.
Le documentaire « Il était une fois… Notre Histoire ? » propose différentes pistes de réflexion, complémentaires les unes des autres : des témoignages illustrant les problématiques rencontrées étape après étape et des éléments plus théoriques d’information et de progression vers l’enfant. Cette maturation par étape, guidée par  des professionnels de l’adoption et les familles qui vous ont précédés, est destinée à permettre à chacun un travail sur soi-même : c’est votre propre histoire qui part à la rencontre de la sienne dans le pays dans lequel il vit. (...) Dans ce documentaire intitulé « Il était une fois… Notre Histoire ? » quatre familles accompagnées par l’AFA ont accepté de témoigner sur l’adoption qu’elles viennent de vivre (enfants grands, fratries, enfant avec problème de santé), sur les difficultés rencontrées et surmontées. Parallèlement, le  Dr Jean-Jacques CHOULOT (pédiatre de la Consultation d’orientation et de conseil en adoption de Pau - Ancien Chef du service de pédiatrie du Centre hospitalier de Pau), le  Dr Nicole GUÉDENEY (pédopsychiatre – Institut mutualiste Montsouris – Paris), le  Dr Marie-Odile PÉROUSE de MONTCLOS (Chef du Service de Psychologie et Psychiatrie de l'Enfant et l'Adolescent - Responsable de la Consultation Adoption Internationale - Centre Hospitalier SainteAnne) et le Dr Jacky ISRAEL (pédiatre), tous experts de l’adoption, portent un regard professionnel sur les réflexions de ces familles."  

Ce documentaire (que je n'ai pas vu) va probablement dans le bon sens, celui d'une meilleure préparation / formation des parents adoptants...en espérant qu'il sera effectivement bien utilisé, au même titre que le documentaire présenté l'an dernier lors de cette même réunion (voir post ici) par MDM, mais réservé à MDM (voir ici).

Source: AFA
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dimanche 21 octobre 2012

Les aspects financiers de l'adoption à l'étude à La Haye



Les 8 et 9 octobre derniers, un Groupe d'experts s'est réuni à La Haye pour discuter des aspects financiers de l'adoption internationale. Des membres des Autorités centrales des États d'origine et d'accueil représentatifs des différents systèmes juridiques et zones géographiques, des partenaires de l'UNICEF, du Service social international (SSI) et d'EurAdopt ainsi que deux experts indépendants ont fait le déplacement.
Lors de cette réunion, organisée par le Bureau Permanent de la Conférence de La Haye de droit international privé suite à une recommandation formulée en 2011 par le Conseil sur les affaires générales et la politique de la Conférence, les participants ont pris part à des échanges fructueux et sont convenus de coopérer en vue de trouver des solutions collectives aux problèmes soulevés. Le Groupe d'experts a vivement approuvé le «Document de réflexion sur les aspects financiers de l'adoption internationale » préparé par le Bureau Permanent, a adopté des définitions à cet égard, a travaillé sur les tableaux relatifs aux coûts et contributions en matière d'adoption internationale et a réfléchi à l'élaboration d'outils visant à trouver des solutions aux problèmes posés par les aspects financiers de l'adoption internationale.
Les Conclusions et Recommandations adoptées par le Groupe d'experts sont disponibles ici.


Le Groupe d’experts a reconnu l’importance des questions relatives aux aspects financiers de l’adoption internationale et les enjeux qu’elles représentent pour l’ensemble des parties, ainsi que leur impact négatif sur la procédure d’adoption internationale en général.
Le document, publié sur le site initialement, mais "caché " depuis, a été en partie repris par  Adoption92 , selon lequel "ses auteurs abordent la question des abus financiers en premier lieu par le côté des victimes.
«Les problèmes qui entourent les aspects financiers de l’adoption internationale affectent directement les enfants, les parents biologiques et les futurs parents adoptifs.» Les victimes des abus financiers en matière d'adoption internationale sont en premier lieu les enfants, bien sûr: «Les abus liés aux aspects financiers de l’adoption internationale portent avant tout atteinte à l’intérêt supérieur et aux droits des enfants». Les enfants: aussi bien ceux qui sont adoptés alors qu'ils n'étaient pas destinés à l'être que ceux qui auraient dû l'être et ne le seront pas. 

En second lieu peuvent être considérés comme des victimes les parents biologiques, le plus souvent abusés, ainsi que, fréquemment, les parents adoptifs. 
Dernière victime, l'adoption internationale elle-même, dont la réputation est ternie et qui ne peut plus être «considérée comme une mesure légitime de protection des enfants».
Dès lors qu'il y a des victimes (éventuellement partiellement consentantes pour certaines d'entre elles), cela veut dire qu'il y a des personnes qui, elles, profitent du système. C'est le second volet. Il est donc bien question des «auteurs d'abus», du manque de volonté politique des Etats en même temps qu'est analysé le contexte mondial: le déséquilibre général de richesse, le fait que «l’adoption internationale met en jeu des sommes d’argent qui peuvent être sans proportion avec les économies des pays en développement». Les expressions «pression et concurrence pour trouver des enfants» sont utilisées, tout comme celles de «manque de volonté politique pour éliminer les profits exorbitants» et «influence corruptrice», «dépendance à l’égard des fonds liés à l’adoption internationale» jusqu'à ce que soit lancé le mot: marché - «l’adoption internationale devient parfois "un véritable marché"»."


Sources: HCCH, HCCH, Adoption92
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lundi 15 octobre 2012

Adoption Internationale: enfin un article qui met (presque) les pieds dans le plat

Le Monde a tiré le premier, et enfin publié un article plus global sur les difficultés actuelles de l'adoption internationale, et pas que sur l'adoption par les  homos,  intitulé "La grande crise de l'adoption à l'étranger", et repris ensuite en partie par Sud-Ouest et Le Figaro. Enfin un article qui met donc les pieds dans le plat, et dresse le portrait de la situation actuelle, que tous les adoptants en attente connaissent parfaitement, mais leur entourage parfois un peu moins, tout comme certains gouvernants serais-je tenter de dire.....  (il y a quand même aussi un article sur l'adoption internationale par les homos ici, mais il faut être abonné).
Néanmoins, cet article ne va pas tellement au-delà du constat catastrophique, et c'est bien dommage. Même si la responsable de MDM interviewée dans l'article pose les bonnes questions, je trouve que la cause de la diminution est principalement expliquée par le développement des pays d'origine, sans aucune remise en cause de l'absence d'adaptation de la France à cette évolution du contexte international, pourtant bien réelle. L'exemple de pays qui ont su se réformer et qui voient leurs adoptions augmenter, comme l'Italie et l'Espagne, n'est même pas cité. Et les propositions d'EFA, entre autres,à peine effleurées.

Certes, les pays d'origine évoluent, se développent et développent l'adoption domestique. Sous-entendre que certains pays en profitent pour conserver les enfants en bonne santé dans le pays d'origine car cela coûte moins cher au système social du pays en question comme le fait un peu cyniquement, mais lucidement, la responsable de MDM, pourquoi pas. Mais oublier de dire que la France bouge fixe, totalement immobile en matière d'évolution des procédures et des accompagnements avant et après l'adoption, oublier de dire que l'AFA est inefficace, malgré des efforts louables mais insuffisants, oublier de dire que les COCA, pourtant saluées, ont peu de moyens... c'est dommage, surtout venant d'un journal comme Le Monde. D'autres articles viendront peut-être compléter celui-ci ... je l'espère!

J'en publie ici les extraits les plus significatifs:
" En 2005, quelque 4 000 enfants de toutes nationalités étaient adoptés par des Français. En 2012, ils devraient être 1 500, selon les projections du ministère des affaires étrangères (pour, en moyenne, 600 enfants français). Tous les pays d'accueil sont touchés dans les mêmes proportions (– 60% aux Etats-Unis). La tendance devrait se poursuivre. "Il faut réagir si nous voulons qu'il y ait encore des adoptions internationales en France dans dix ans", affirme Nathalie Parent, la présidente de Enfance et familles d'adoption, principale association de parents adoptifs.

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dimanche 14 octobre 2012

Et pendant ce temps-là, au Bhoutan... les noces de coton du Roi (épisode 10)


Hier, le 13 octobre, le Bhoutan célébrait dans la discrétion le premier anniversaire de mariage de son Roi Wingluck et de sa jolie Jetsun. Conformément à la volonté de Sa Majesté, aucune fête nationale n'a été déclarée ni aucune célébration n'était organisée pour l'occasion.
Cependant, le premier ministre et son gouvernement ont présenté leurs respects au couple royal, avant que Sa Sainteté Je Khenpo ne leur offre un Yangbum, un "vase de prospérité". Leurs Majestés également parrainé des prières pour la nation et le peuple dans tous les monastères et temples importants du pays.


Tout cela après une rentrée chargée pour nos tourtereaux: interventions sur la protection de la couche d'ozone dans les écoles par Jetsun, nommée ambassadrice de l'ozone par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) , qui lui a d'ailleurs remis une plaque commémorative en reconnaissance de la contribution du pays aux objectifs du Protocole de Montréal, pendant que le Premier Ministre se rendait aux Pays Bas recevoir la tulipe au nom de SM Jestun Wangchuck Pema. La tulipe "Reine du Bhoutan" symbolise la relation de longue date et de l'amitié entre le Bhoutan et les Pays-Bas et exprime la personnalité de Sa Majesté: "chaleureux et sympathique dans le cœur et l'esprit ».

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vendredi 12 octobre 2012

La place de l'enfant adopté dans le débat

Suite à mon premier post sur le projet de loi sur l'ouverture de l'adoption aux couples homos, qui reprenait en quelque sorte les diverses réactions suscitées dans la presse, un débat passionné et passionnant s'est ouvert dans les commentaires de ce même post sur la place de l'enfant adopté, et sur les "pour" et "contre"de l'adoption par les homosexuels.
Pour poursuivre ces échanges, autour d'un projet de loi dont on ne connait pas encore tous les contours, je complète donc ici une partie des points de vue exprimés par de nouvelles publications récentes, qui repositionnent notamment cette problématique dans le contexte plus large de l'adoption "tout court" et des conséquences de la complexité grandissante de celle-ci, notamment en termes de lacunes dans le domaine de l'accompagnement post-adoption.
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lundi 8 octobre 2012

Adoption par les couples homos, mais pas que: le "discours de la méthode"

HÉLÈNE CHARBONNIER, présidente de Racines Coréennes, et JEAN-VITAL DE MONLÉON, pédiatre, anthropologue, tous deux membres du Conseil supérieur de l’adoption, ont publié une tribune dans Libé vendredi dernier.
Sans véritablement se positionner sur le sujet de l'adoption par les homos, même si l'on sent une certaine réticence en filigrane, leur propos a surtout été de repositionner le sujet autour de trois points: l'intérêt de l'enfant adopté (point sur lequel je reviendrai dans un autre post, au vu des passionnants(és) débats générés sur ce point dans les commentaires de mon précédent post), le contexte plus large de l'adoption en général, aujourd'hui beaucoup plus difficile et plus complexe et sans beaucoup de réactions de nos gouvernants (les nouveaux comme les précédents), et enfin, l'appel à une "réflexion collective" sur le sujet, en faisant appel aux institutions en place et aux diverses associations. Un discours de la méthode , en quelque sorte.
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dimanche 7 octobre 2012

Et pendant ce temps-là... c'est la Fashion Week !

"La princesse Sirivannavari de Thaïlande, âgée de 25 ans, a honoré de sa présence la présentation de la collection printemps-été 2013 Hermès au musée du Jeu de Paume, la semaine denrière.
En dépit de son jeune âge, la princesse Sirivannavari Nariratana, formée aux métiers de la mode et du textile à la Faculté des Beaux-Arts et des arts appliqués de la prestigieuse Université Chulalongkorn à Bangkok, n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de novice dans la modosphère : seule fille des cinq enfants du prince héritier Maha Vajralongkorn, la jeune femme fréquente la Fashion Week parisienne depuis des années, et y présentait même en 2007, à 20 ans seulement et à l'invitation du couturier Pierre Balmain, une collection de son cru, "Présence du passé" (Presence of the Past), inspirée de souvenirs de sa grand-mère et revisitant les habits traditionnels thaïlandais. L'année suivante, en 2008, elle récidivait en présentant à nouveau ses créations dans la capitale française.
Cette fois, la jeune représentante de la Maison de Mahidol, férue d'arts et de sport, n'était pas actrice, mais spectatrice du show, invitation au voyage colorée et très graphique, offert par Hermès et son directeur artistique Christophe Lemaire. Une spectatrice au style affirmé, avec un total look black composé de cuir, de broderies ajourées et d'un large chapeau, propre à entériner un peu plus encore la présence de la princesse Sirivannavari dans le top des jeunes têtes couronnées les plus convoitées de la planète."
L'une des créations de la princesse pour Balmain en 2008
Sources: PurePeople, TCDC
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samedi 6 octobre 2012

Le facteur...

... Le facteur est passé ce samedi matin nous apporter le recommandé du conseil général contenant notre extension d'agrément. 
Tout ce que  nous réexpliquerons d'ici un mois pour le nouvel agrément est donc déjà là, écrit et approuvé. 
C'est toujours à la fois émouvant, déroutant et satisfaisant de lire notre parcours ou  notre point de vue,  rédigé et commenté par d'autres. 
Un bout de nous qui est cette fois encore un nouveau sésame pour nous rapprocher de notre (nos) enfant(s)!!
  
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