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mercredi 18 juillet 2012

Thaïlande : fermeture d’écoles pour lutter contre une maladie infectieuse


"Trente écoles ont été fermées à Bangkok pour tenter d’enrayer la progression de la maladie mains-pieds-bouche qui s’en prend surtout aux enfants. Aucun décès n’a été constaté jusqu’à présent.
La Thaïlande passe la vitesse supérieure dans sa campagne pour freiner la progression de la maladie mains-pieds-bouche qui a infecté 13.000 personnes dans le pays, en majorité des enfants, dans les six premiers mois de l’année. Jusqu’à présent trente écoles deBangkok, où des dizaines de cas d’infections ont été constatés, ont fermé leurs portes, mais les autorités annoncent que cela n’est qu’un début. Les écoles fermées sont désinfectées par les services sanitaires du ministère de la Santé.
Selon le quotidien thaïlandais Bangkok Post, la maladie s’est aussi propagée dans des écoles de Lampang, dans le nord d’Ayuthaya, à 80 kilomètres au nord de Bangkok, et d’Ubon Ratchathani dans l’est du royaume. Le ministère de la Santé, en coordination avec ceux de l’Intérieur et de l’Education, a mis en place un plan de surveillance en six points pour contrôler la progression de la maladie. Le plan indique notamment qu’un centre provincial de surveillance de la maladie doit être établi dans chaque province où le nombre de cas devient supérieur à dix. Il requiert également un renforcement des normes d’hygiène dans les écoles et les jardins d’enfants et exige que les espaces de jeux dans les complexes commerciaux soient désinfectés régulièrement. Selon Anusorn Iamsa-ard, porte-parole adjoint du gouvernement cité par le journal The Nation, 60 % des enfants de moins de six ans ont un système immunitaire insuffisamment développé pour ne pas être infecté par le virus.
La présence d’une forme virulente du virus de la maladie, qui a tué plus de soixante enfants au Cambodge, n’a pas encore été constatée en Thaïlande, où aucun décès du à cette forme du virus n’a été enregistré."

Soucre: AsieInfo
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mercredi 11 juillet 2012

Les enfants thaïs plus stressés

"Le ministère de la Santé thaïlandais vient de dévoiler les conclusions mitigées d’une étude sur l’intelligence émotionnelle des enfants dans le pays.
L’intelligence émotionnelle (ou quotient émotionnel) désigne la capacité pour un individu à identifier et contrôler ses émotions, et celles des autres. Le département de la santé mentale, dépendant du ministère de la Santé, vient de donner les résultats d’une enquête menée en 2011 auprès d’un panel de 5325 enfants, répartis sur tout le territoire thaïlandais et âgés de 6 à 11 ans.
Selon cette étude, à laquelle s’est intéressé le Nation (1er juillet), le quotient émotionnel (QE) des petits Thaïlandais est moins élevé en 2011 (169.72), qu’en 2007 (179.58) et qu’en 2002 (186.42), dates des précédentes enquêtes. D’après le directeur de l’Institut Rajanukul, responsable de l’enquête 2011, les enfants seraient « moins heureux, et se sentiraient plus stressés » dans un monde qu’ils sentent plus agressif.
Dans le détail, et par région, il apparaît que les enfants du nord-est du pays ont un QE moins élevé que ceux du sud ou de Bangkok. Le nord-est de la Thaïlande est une partie du royaume traditionnellement très pauvre. Pour subvenir aux besoins de la famille, les parents sont souvent obligés de s’exiler en ville, notamment àBangkok, afin de travailler. Les enfants sont alors élevés par leurs grands parents, eux-mêmes dans une situation financière précaire et sujets à la maladie. Cette situation ne favorise pas leur épanouissement expliquent les enquêteurs. La dégradation du moral des petits thaïlandais ne serait pas circonscrite au seul nord-est, mais toucherait en fait tout le pays. Tous les QE calculés dans les différentes région affichent des taux inférieurs à la moyenne mondiale.
"


Source: AsiaOne, TheNation,




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mercredi 13 juin 2012

Ce que j'ai appris sur la maternité en étant un parent adoptif

Aujourd'hui , je partage avec vous un article publié  il y a quelques semaines dans la section Parents du HuffPost US,  par Kristen, une blogeuse US, maman bio et adoptive de 4 enfants: "Ce que j'ai appris sur la maternité en étant un parent adoptif". Pas grand chose d'original, très imprégné des principes américains, mais malgré tout un certain nombre de vérités toujours bonnes à être dites!
Qu'en pensez-vous?

"Ma famille a été formée de multiples façons: mon premier enfant a été adopté à partir du système de placement familial, mes deux autres enfants suivants  sont venus "à la manière démodée" et mon dernier enfant a été adopté à près de 4 ans dans un orphelinat en Haïti. J'ai eu la chance de découvrir la beauté de l'accouchement, ainsi que la joie de rencontrer un enfant adopté pour la première fois. Chaque expérience a été tout aussi émotive et change la vie. Toutefois, l'expérience de l'adoption m'a donné une perspective unique sur la maternité, m'a appris quelques vérités nouvelles, et le renforcement de ce que je crois être vrai sur le rôle parental.
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mardi 14 février 2012

Quel anniversaire pour un enfant adopté?

Il y a quelques jours, Le Parisien a publié une interview de Patricia Mowbray, auteure de "A comme adoption" (voir ici) concernant les anniversaires des enfants adoptés. J'apprécie beaucoup cette auteure, son bouquin est top et une fois de plus, son interview révèle son approche censée et pragmatique! 
"L’anniversaire officiel et l’autre, celui dont on ne parle jamais. « C’est pourtant un jour essentiel, lui aussi », sourit Patricia Mowbray, présidente de l’association Racines d’enfance, adoptée elle-même à l’âge de 3 ans, il y a cinquante-cinq ans, par des parents franco-britanniques. « C’est un jour de renaissance, le jour où on existe à nouveau pour d’autres yeux, le jour d’arrivée sur notre terre d’enfance, le jour où la mère devient mère, le père devient père… »
Dans le livre qu’elle réédite aujourd’hui, « A comme adoption », magnifique ode à cette aventure du point de vue de l’adopté, Patrica Mowbray a absolument tenu à ajouter un chapitre sur « l’anniversaire ». « Ici, en Occident, la date est très importante et le rite entretenu parfois jusqu’à l’excès… Il ne s’agit pas de le rayer : les enfants en ont besoin puisqu’ils sont bien nés comme les autres, que tous leurs copains fêtent leur anniversaire. Mais quand on est adopté, non seulement c’est un jour incertain parce qu’on a pu être déposé tardivement à l’orphelinat, mais c’est un jour sans témoin. Et c’est ça qui manque. » Les parents peuvent y mettre des mots, certes, mais pas raconter. Certaines mamans ont même un pincement au cœur en repensant à ce jour où une autre femme a mis leur enfant au monde. Du coup, le vrai moment ritualisable qui a du sens pour la famille et qui fait rejaillir de l’émotion positive, c’est celui de l’adoption. Les familles pourraient choisir de retenir la date de la rencontre, celle de l’apparentement, du jugement… Mais dans 90% des cas, c’est celui de l’arrivée à la maison qui reste gravé dans le marbre. (...)
D’ailleurs, pour Patricia Mowbray, il ne s’agit surtout pas de gommer « l’avant adoption », ni d’en faire trop, de pourrir de cadeaux deux fois dans l’année un petit qui n’a rien demandé. Encore moins de lui mentir. « Au contraire, c’est juste l’occasion de parler », conclut-elle. « L’émotion de ses parents qui se remémorent son arrivée est très rassurante pour l’enfant… Elle raconte à elle seule la manière dont il a été accueilli. Elle lui permet simplement d’avoir, lui aussi, un « repère d’origine ».
Et vous, vous faites comment? vous en fêtez aussi plusieurs, et correspondant à quels évènements ? 
Source: Le Parisien 
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dimanche 8 janvier 2012

Une série d'articles lucides sur l'adoption internationale

Lucides mais ...."raides", quatre articles québécois hyper-précis de Baptiste Ricard-Châtelain pour "Le Soleil" , sur le nouveau paysage de l'adoption internationale. Sans aucune illusion sur la difficulté de "l'exercice", que ce soit la difficulté de l'attente ou la difficulté renforcée de la parentalité adoptive, du fait de l'évolution du  profil des enfants adoptables. Une douche froide, mais réaliste et salutaire, avec plein d'exemples de pays, notamment asiatiques. Au moins, les choses sont dites! Je vous en cite ici les passages les plus marquants, mais n'hésitez pas à aller les lire (en cliquant sur les sources, tout en bas).

La fin de l'illusion du bébé parfait 
L'adoption internationale est devenue un interminable chemin de croix. Tellement, que Québec entend forcer les futurs parents qui rêvent de cueillir un poupon en des contrées lointaines à suivre une formation pour qu'ils sachent dans quel bateau ils embarquent. (voir à ce sujet le dernier numéro du SAI précisément sur la préparation à l'adoption ici ). Entre le fantasme du bébé parfait de quelques mois et la complexe réalité des enfants disponibles, il y a un monde d'illusions à déconstruire. (...)
La demande est toujours aussi forte, mais le nombre d'enfants jugés «adoptables» est en chute libre. Beaucoup de nouveau-nés trouvent maintenant une famille sur place, dans leur pays d'origine. Ces nations offrent donc aux adoptants de l'étranger de plus en plus de garçons et de fillettes plus vieux, souvent étiquetés «besoins spéciaux» (lire ici qu'ils cumulent des problèmes de santé physiques et psychologiques). " Il y a encore des bébés disponibles, mais ils sont rares et il faut attendre cinq ans, six ans. La plupart des enfants seront plus âgés, fréquemment en fratrie, parfois handicapés." 
«Il est de plus en plus important que les parents soient préparés» (...) «Le but, c'est d'allumer des lumières rouges pour que les gens puissent aller plus loin.» (...) «Il faut les outiller à devenir des parents d'exception», réclame le Dr Chicoine «Ça prend des compétences particulières et un gros portefeuille.» (...)
«On arrive à une sorte de cul-de-sac. Ce n'est pas rose du tout, lance-t-il. C'est complètement changé, le monde de l'adoption depuis quelques années. C'est vraiment un autre monde.»
Malgré tout, le projet d'adoption demeure tout à fait réalisable, tempère le Dr Jean-François Chicoine. Les défis sont certes nombreux. «Ce qui n'empêche pas de super belles histoires.» (...)
 «Ils ont les mêmes besoins que les autres enfants, mais ils ont des "options" supplémentaires, ils ont besoin d'un entretien spécialisé.», précise  Johanne Lemieux. «Ils ont été en malnutrition générale - affective, alimentaire, sensorielle -, ces enfants.»
«Le mythe que les bons soins et de l'amour règlent tout, c'est faux et archifaux», explique Johanne Lemieux. «Il faut que tu sois conscient que ça va prendre des connaissances supplémentaires pour soigner les blessures invisibles. [...] Ils vont avoir besoin de parents particulièrement disponibles et "connaissants".»

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dimanche 11 décembre 2011

A quoi ressemblait votre chambre d'enfant ? Souvenez-vous...

"A quoi ressemblait votre chambre d'enfant ? Souvenez-vous... Vos posters sur les murs, vos objets familiers, l'ordre, le désordre, dans la pièce, disent mieux que les mots de quel milieu vous venez, ils expriment votre univers et laissent deviner quels étaient vos rêves."
Il y a quelques semaines, le magazine week-end du Monde, M,  a publié un excellent article et un reportage photo sur les chambres d'enfants à travers le monde. "Immense, minuscule, pièce à part, domaine réservé dans un espace commun... peu importe. La chambre d'enfant parle d'une société, de ses rêves, de ses espoirs."
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vendredi 1 juillet 2011

Bizutage à la Thaïe!

D'après CourrierInternational, le bizutage dans les facs thaïes, c'est un peu comme ici! Et certains, à l'université Maha Sarakham, ont, cette année, pour la première fois, crié leur ras-le-bol, un peu comme ici aussi, il y a quelques années.
" Comme leurs prédécesseurs, les étudiants en première année de l'université Maha Sarakham (MSU) ont été contraints cette année [la rentrée vient d'avoir lieu en Thaïlande] de marteler des slogans à s'en briser la voix et de se soumettre à des exercices quasi militaires en plein soleil jusqu'à ce que la plupart s'effondrent. Comme dans la majorité des universités thaïlandaises, ils ont dû subir les mêmes rituels de bizutage présentés par leurs défenseurs comme un rite de passage indispensable à la cohésion du groupe et par leurs détracteurs comme un processus de déshumanisation destiné à faire de bons petits soldats. Par peur d'être exclus du groupe, les étudiants se sont toujours tus. Sauf cette année."
"Un rituel qui, selon une chroniqueuse du Bangkok Post, traduit l'autoritarisme et la soumission omniprésents (...) Comme à l'armée, l'obéissance, valeur suprême pour réussir dans la société, est enfoncée dans la tête de nos enfants. Penser différemment est non seulement découragé mais condamné pour remise en cause de l'autorité. (...). Avec cette idée que nous devons tous rentrer dans le moule si nous voulons survivre et réussir notre vie.
Malgré sa brutalité, il est difficile de se battre contre le bizutage parce qu'il récompense le conformisme : le bizutage donne à ceux qui s'y plient le sentiment de faire partie d'une communauté et la possibilité d'avoir recours à cet abus de pouvoir le moment venu. La philosophie du bizutage est simple : l'utilisation de la violence est acceptable si elle a pour objectif la soumission et à l'ordre. Ne soyez donc pas surpris si l'année prochaine rien n'a changé à l'université Maha Sarahkham. "
Je vous laisse savourer l'article intégral ici...
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mardi 7 juin 2011

Les écoles maternelles thaïlandaises au banc d'essai

Selon CourrierInternational, "la Thaïlande, pays souvent montré du doigt pour son piètre système éducatif, devrait commencer par revoir sa copie dès les plus petites classes. C'est ce qui ressort de la deuxième phase d'une étude sur la qualité des écoles maternelles publiques : 4 885 d'entre elles ne satisfont pas les critères établis par l'autorité d'évaluation, contre 21 000 qui ont reçu un avis positif des inspecteurs, rapporte le Bangkok Post. Principale raison à ce mauvais score : la pénurie d'enseignants, en particulier dans les zones reculées."

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lundi 6 juin 2011

L'apprentissage du langage par les enfants adoptés

J'aimerais partager avec vous aujourd'hui cette  étude canadienne sur les capacités comparées des enfants adoptés à l'étranger et des enfants bios quant à l'apprentissage du langage. 

"Les enfants adoptés à l'étranger pourraient ne pas maîtriser le langage aussi rapidement que ceux nés au Canada.Une série de tests a démontré que lorsqu'ils étaient comparés à des bébés canadiens, entre le tiers et la moitié des enfants adoptés avaient un peu plus de difficulté à s'exprimer, et qu'environ un quart d'entre eux avaient un peu de mal à comprendre la langue. Le directeur de l'étude, le professeur du département de psychologie Fred Genesee, a mentionné que les différences n'étaient pas énormes mais qu'elles étaient statistiquement fiables."

Ces difficultés d'apprentissage de la langue me paraissent assez logiques, au démarrage, les enfants adoptés ayant également tout un travail d'adaptation à effectuer, et parfois aussi, un travail de "rattrapage".  Et finalement, ces différences ne me paraissent pas insurmontables, surtout sur la durée! Mon optimisme est peut-être dû au fait que je suis bilingue de naissance, et que je n'ai aucun souvenir de difficultés particulières, même si j'ai longtemps eu une orthographe "parlée" dans mon autre langue...
Pour une fois, ces difficultés ne sont pas généralisées à tous les enfants adoptés, qui sont en général plutôt présentés avec des difficultés scolaires...

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mardi 26 avril 2011

Adopted, the comic : une BD sur l'adoption

Grâce à Gem, j'ai découvert cette BD "Adopted: the comic",  publiée sur un blog par deux adoptés vietnamiens, aujourd'hui adultes. 
Bert Ballard (l'écrivain) est basé au Canada et va à son tour adopter un fils au VietNam, et Jessica Emmett  est la dessinatrice, basée au Royaume-Uni, mais qui a grandi à HongKong.
Il s'agit de planches un peu dans l'esprit des comics que l'on trouve dans la presse US, un peu comme Dilbert (qui se gausse du management et la working-life), en une page, sur tous les sujets liés classiquement à l'adoption, et traités avec un humour bien sympa!
J'aime beaucoup celle sur les inquiétudes des parents adoptifs, ici...ou celle sur les dates clés et les anniversaires,  et ...ou encore, la dernière en date, comment fait on les bébés? (ici).. de quoi relativiser avec le sourire!! Celle- n'est pas mal non plus !
Vous aimez? 

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lundi 10 janvier 2011

Nouvelles manifs... malgré le "welfare package"

Selon RFI notamment, "le mouvement anti-gouvernemental des « chemises rouges » reprend de l’élan. Près de 30 000 d'entre eux ont manifesté ce dimanche 9 janvier 2010 dans le centre de Bangkok, paralysant la circulation dans la capitale thaïlandaise. Il s’agit de la plus importante manifestation depuis la répression militaire de mai dernier." Les enjeux de cette première manifestation des « chemises rouges » depuis la levée de l’état d’urgence fin décembre sont très bien expliqués dans l'article  : demande de la libération des leaders du mouvement emprisonnés depuis huit mois et pression en perspective des élections annoncées pour juin 2011.
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dimanche 9 janvier 2011

Children's day 2011

Le deuxième samedi de janvier, chaque année, en Thaïlande, c'est Children's Day (voir ici et ).
"C'est l'occasion pour l'ensemble des organismes gouvernementaux et privés d'ouvrir leurs portes pour encourager les enfants à explorer leur imagination et créativité. C'est par exemple la seule opportunité de l'année pour visiter le siège du gouvernement (et photographier sa progéniture dans le fauteuil du Premier Ministre!),  la Chambre, et les sites de l'Armée". L'idée générale étant d'encourager les enfants thaïs à prendre exemple sur leur Roi, lorsqu'il était lui-même enfant. Cet évènement  qui existe depuis 1955, sera suivi le 16 janvier par le Teacher's Day (ici), au cours duquel les enfants rendent hommage à leurs enseignants.
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All about Steve

Grâce à Moushette et à Isabelle, j'ai découvert que Steve Jobs, PDG d'Apple et Pixar, était un enfant adopté. Et il explique dans cet incroyable discours, qui date de 2005 mais dont je n'avais jamais entendu parler, comment cet évènement a marqué sa vie et son parcours. Et il m'a "scotchée". Une chose est sûre, je ne regarderai plus mon IPad du même oeil!
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mardi 28 décembre 2010

Les mauvais résultats scolaires des petits thaïs

Selon l'étude PISA, benchmarking mondial des acquis scolaires des élèves de 15 ans, reprise assez largement dans la presse  début décembre, et notamment sur thailandefr, la Thaïlande se situe en deçà de la moyenne internationale dans les trois domaines mesurés par le test PISA.
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jeudi 21 octobre 2010

La formidable réussite scolaire des enfants d'Asiatiques

LeFigaro publie un article sur une enquête de l'Ined à propos des diplômes obtenus par les enfants d'immigrés. 

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