
Vendredi, donc, je me suis propulsée jusqu'à Dijon à la première Journée Elisabeth Rousseau "Et si on parlait d'adoption?". Enfin, dès jeudi soir plus exactement, où j'ai sauté dans un TGV vers 20h30 pour arriver à mon hotel à 22h. Autant vous dire que je ne vous parlerai pas beaucoup de Dijon - même pas eu le temps de rapporter un pot de moutarde!! Bon en même temps, on en a aussi à Orléans, de la moutarde....
Bon pied bon oeil, dès le vendredi matin j'arrive donc au Conseil Général après un petit quart d'heure de marche à pied bien revigorante, vu le froid juste glacial.
La journée s'est déroulée dans une atmosphère sympa et détendue, grâce à des organisateurs hyper-motivés (la JCE) et des intervenants pour la plupart efficaces et intéressants, et des auditeurs attentifs.
J'ai beaucoup apprécié les termes utilisés par le président de la JCE dans son introduction: la réunion de gens "non pas concernés par l'adoption, mais impliqués dans l'adoption". C'était non seulement juste, mais c'est surtout ce qui fait toute la différence à mes yeux!
Cette Journée, première du nom, et selon les souhaits de JVM et des organisateurs, première d'une longue série à venir de Journée Nationale de l'Adoption (avec recueil de signatures à l'appui), a tout d'abord le grand mérite d'exister. Et ce serait effectivement bien de la pérenniser. Je crois en effet important et nécessaire que les experts, les spécialistes, les acteurs "impliqués" dans l'adoption, investissent le territoire de l'information, de la réflexion, et de la proposition afin de ne pas laisser la seule émotion/effervescence médiatique comme mode d'information / de communication sur l'adoption (comme l'a évoqué l'un des intervenants, mais je ne sais plus lequel!). Il faut vraiment faire de l'adoption un sujet et pas seulement un ensemble de faits divers.
Dans cet alléchant programme, mes préférences sont allées, dans l'ordre d 'apparition, à :