mercredi 27 avril 2011

Christian Clavier achève le tournage de son nouveau film en Thaïlande...

... et en profite pour donner une interview au PetitJournal, reprenant au passage quelques savoureux clichés que je ne résiste pas à vous faire partager! 
"Ce film est une vraie comédie sur un sujet de société, assez proche de celui qui était traité dans "La Cage aux folles" [...], c'est à dire l'adoption d'un enfant par deux personnes du même sexe", a confié Christian Clavier. "Moi, ce qui me plaisait là-dedans, ce n'était pas de donner un message par rapport à cela [l'adoption d'un enfant par un couple homosexuel, ndlr], mais de faire un "vaudeville contemporain", ajoute-t-il. "Quand on transgresse la loi, il faut mentir, et mentir, cela fait des quiproquos. Il y a des usurpations, il y a des gens qu'on fait passer pour ce qu'ils ne sont pas et, à ce moment-là, c'est matière à comédie", explique-t-il. 
Muriel Robin, qui interprète une jeune femme en couple homosexuel qui désire à tout prix adopter un enfant, dit que "ce film parle de l'homoparentalité mais elle n'est pas traitée directement. Tout est décalé pour que ce soit drôle".

Bref, on est prévenu: pas de message, mais du vaudeville "contemporain", OKAAAAAAAAAAAY?
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3 commentaires:

  1. L'adoption, un sujet assez proche de celui de la cage aux folles ??!!!! Clavier, dans toutes sa subtilité....

    Mes condoléances bis.....

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  2. L'adoption d'enfants par des homosexuels est-elle autorisée en Thaïlande ??? Déjà qu'elle ne l'est pas en France, c'est vraiment très décalé...

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  3. Un ou une homosexuel(le) célibataire peut facilement adopter, son orientation sexuelle fait partie de sa vie privée et ne regarde pas les institutions. Par contre, s'il vit en couple, son conjoint ne pourra pas adopter l'enfant. C'est donc l'enfant qui est privé du lien officiel avec un de ses deux parents, ce qui peut avoir pour lui des effets graves en cas de décès du parent officiel ou en cas de séparation conflictuelle.

    C'était également le cas dans les couples non homo où le beau père, la belle mère, n'avait, n'a toujours, aucun lien légal avec un enfant qu'il ou elle a pourtant parfois élevé de nombreuses années. Et la loi prévue pour résoudre cette injustice parfois néfaste à l'enfant a capoté sur la question des homosexuels: pour ne pas donner ce droit aux beaux parents homos, on l'a refusé à tous.

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