Selon LeFigaro , "le gouvernement thaïlandais a révoqué l'état d'urgence dans trois provinces du Nord-Est, bastion des manifestants antigouvernementaux qui avaient paralysé Bangkok au printemps dernier. Le premier ministre Abhisit Vejjajiva a maintenu la mesure dans la capitale mais a signé la décision pour les provinces de Nakhon Ratchasima, Khon Kaen et Udon Thani, d'où viennent toute une frange des "chemises rouges". Bangkok est sous pression de la communauté internationale et de plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme pour le révoquer complètement, du fait des pouvoirs extraordinaires qu'elles fournissent en matière de restriction des droits de l'homme .
"L'état d'urgence reste cependant imposé à Bangkok et dans trois provinces limitrophes de la ville, théâtre d'une série de jets de grenade non revendiqués ces dernières semaines. L'opposition, qui soutient les "chemises rouges" a plusieurs fois accusé le pouvoir d'être derrière ces explosions pour justifier des mesures de sécurité extraordinaires." Ce qu'indique aussi le BangkokPost.
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