jeudi 14 janvier 2010

Haïti

Que dire de cette horrible catastrophe... je suis juste bouleversée par les témoignages d'enfants originaires de Haïti, adoptés et vivant ici,  qui comprennent ce qui s'y passe et posent tant de questions... (lu sur le forum de Racines Thaïlandaises, cette petite fille qui demande de snouvelles de la directrice de son ancienne crèche...).

Je suis juste bouleversée par les témoignages aussi des parents adoptants, déjà apparentés à leurs enfants, dont les enfants sont encore là-bas, dans les "crèches" (orphelinats)... et qui sont sans nouvelles, ou si peu... A quel point doivent-ils être désemparés... le SAI envisagerait des rapatriements n'envisage pas de rapatriements en France mais recense les familles concernées ...

Et je suis juste bouleversée par cette information, selon laquelle un orphelinat s'est effondré (Notre-Dame-de-la-Nativité): combien d'enfants sont morts?
beaucoup d'infos circulent, notamment sur les blogs et les forums, notamment le blog de Moushette, toujours à la pointe de l'info, et le blog de la cigogne, que Moushette recommande et qui regorge d'infos...
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2 commentaires:

  1. Kakrine, la SAI n'envisage PAS de rapatriement, cf ton lien !! modifie vite ton post, il ne faut pas donner de faux espoirs à ces pauvres familles.

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  2. Les enfants nés en Haïti qui ont été adoptés sont extrêmement soulagés de ne pas vivre en Haïti et de vivre en France avec leur famille. J'ai beaucoup d'amis qui ont adoptés des enfants nés en Haïti qui attendent ou attendaient leur petit frère ou leur petite soeur. La seule crainte des enfants vivant en France est ou était de ne jamais pouvoir avoir la petite soeur ou le petit frère qu'ils attendent. J'ai des amis qui attendent leur deuxième petite fille. Leur première fille vit très mal l'arrêt des procédures ...
    En ce qui concerne ma fille, elle m'a dit : "maman, je suis tellement contente de vivre en France et de t'avoir comme maman !".
    Au nom d'un soit disant intérêt supérieur de l'enfant prôné par M. Kouchner et ses amis des enfants sont en extrême souffrance en France et en Haïti.

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